LETTRE OUVERTE A MONSIEUR LE PROCUREUR
GENERAL DE LYON ( RHÔNE )
Monsieur le Procureur Général,
J'ai l'honneur de porter à votre connaissance les faits suivants:
J'ai déposé deux plaintes au parquet de Besançon (25000)
les 26 janvier 2010 et 06 janvier 2011. Ces plaintes ont été transmises au parquet de Lyon pour instruction et ont été classées sans suite.
Les motifs de ces plaintes: vols de courriers et de colis postaux, écoutes téléphoniques sauvages et illégales, piratages de nos téléphones et de nos ordinateurs, lettres anonymes provenant toutes du secteur postal de Libourne et qui comprend, Tassin La Demi-Lune , Craponne , Saint Genis Les Ollières , et atteinte à la vie privée. Pour les lettres anonymes, il suffit que je dise quelque chose a mon amie qui réside dans le secteur cité plus haut, quelque chose qui ne plaît pas à celui qui écoute, pour que dans les quarante-huit heures je reçoive une lettre anonyme qui cite ce qui à déplu. J'en suis à onze et depuis quelque temps le rythme s'accélère. Ces faits durent depuis novembre 2008, période où j'ai fait la connaissance de mon amie.
Il y a un fou, jaloux maladif, à tendance paranoïaque et schizophrénique et dangereuse qui se ballade quelque part entre:
Tassin La Demi-Lune , Craponne , Saint Genis Les Ollières . Il se permet quand mon amie est absente de chez elle, de pénétrer dans son appartement, de fouiller son ordinateur, voler certains courriers, et autres choses, le tout sans effraction, c'est dire sa malice. Les soirs d'été , quand mon amie et ses parents prennent le frais à la nuit tombée sur leur balcon, il se permet de leur faire peur en leur braquant un laser rouge sur le front ou dans la direction du coeur . Mon amie à du prendre des mesures de protection draconiennes pour son logement, mais craint pour sa sécurité et celle de ses parents de 80 ans. Par un temps, il faisait suivre mon amie jusqu'à son travail par des copains à lui, ou même sur les lieux ou elle faisait ses courses avec ses parents en fin de semaine
C'est aussi tous ces appels téléphoniques bidon reçus le jour et la nuit par elle ou moi. Il est grandement temps que la justice réagisse avant que cela finisse très mal. Il ne faut pas faire justice soit même nous dt-on, la question se pose au vu des résultats. Devons-nous faire nous même le travail de la police? Par la même occasion, se débarrasser de cet être immonde. La dernière trouvaille de cet abruti a été, au Salon des Amoureux du livre de Brindas 69126 le 04 mars ou j'étais présent de me faire voler par des gens qui nous ont surveillés pendant un temps, puis ont disparu, mon portable médical, mes papiers, permis de conduire, carte nationale d'identité, copie de mon ordonnance, ce qui mettait ma vie en danger en cas de nécessité d'hospitalisation, je suis cardiaque et diabétique. En conséquence de quoi en cas d'hospitalisation d'urgence je dois toujours avoir ce document sur moi pour connaître les médicaments que je prends. Mon portable médical et mon ordonnance me sont indispensables, ce fou a mis ma vie en grand danger.
La police judiciaire aurait pu faire des prélèvements ADN sur les lettres anonymes, cela n'a pas été fait. Pourquoi? Ah oui, ça coûte trop cher, et puis nous ne sommes que de petites gens, alors on s'en fout. La justice égale pour tous, mais ou donc? Nous avons contacté monsieur le ministre de la Justice le 15 août 2011. Résultat, il semble que cela a déplu à certains, car on a renvoyé le dossier illico à Besançon classé sans suite. Nous allons aller encore plus loin et plus haut. Arrêtez ce fou dangereux et je suis sûr que vous éluciderez en même temps pas mal d'affaires de vols, chantages, abus de confiance, et autres. À moins qu'il ne soit un protégé de la police.
La balle est dans votre camp, gardez-la et agissez, sinon, il pourrait se passer des choses très graves dont vous serez seul responsable. Il semble plus facile aujourd'hui en France de mettre en prison des policiers dont le seul tort a été d'avoir un pépin face à un étranger qui commettait un délit, que de neutraliser un fou dangereux.
Je suis à votre disposition pour tous renseignements complémentaires.
Vous priant de donner à cette affaire toute votre attention, ainsi que les suites légales qu'elle comporte avant qu'il n'arrive un malheur.
Veuillez agréer, Monsieur le Procureur général de la République de Lyon, l'expression de ma considération distinguée.
GEORGES DANIEL SURLEAU
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